20 Juillet 2011 | Presse
Spigraph se rapproche d’Alos, groupe Suisse-Allemand
Le Groupe Spigraph accélère son développement européen et prend pied en Allemagne et en Suisse, en signant l'acquisition du Groupe Alos, devenant ainsi le N°2 européen.
Zurich, 20 juillet 2011 - Le leader français de la distribution à valeur ajoutée (VAD) de solutions de numérisation, vient de conclure l’acquisition du groupe familial suisse et allemand Alos. Le Groupe Spigraph, appuyé par les fonds Antin gérés par BNP Paribas Private Equity, actionnaire minoritaire, s’associe à l’équipe de management d’Alos pour reprendre le groupe aux familles des fondateurs et donner naissance au numéro 2 européen.
Réalisant plus de 50M€ de chiffres d’affaires pour une équipe de 230 collaborateurs, le nouvel ensemble propose une offre homogène à forte valeur ajoutée dans l’environnement des scanners documentaires professionnels et est présent dans plus de sept pays en Europe et Afrique du Nord : France, Allemagne, Suisse, Suède, Maroc, Algérie et Tunisie. Partageant un état d’esprit et des standards de qualité communs, les deux groupes présentent de fortes complémentarités, sur les plans géographiques et métiers, qui permettront de renforcer le service et les relations avec leurs partenaires commerciaux.
Cette transaction fait suite à l’ouverture par Spigraph de plusieurs filiales internationales depuis trois ans. Daniel Chautard, Président du Groupe Spigraph, indique par ailleurs : « L’opération Alos est une étape clé de notre développement européen, qui sera très certainement suivie d‘autres croissances externes destinées à renforcer la présence du groupe en Europe. Elle nous permet de mieux accompagner à l’international nos partenaires et clients dans leurs problématiques de capture documentaire ». Stephan Kopp, président et représentant des actionnaires cédants d’Alos d’ajouter : « Les actionnaires et managers du Groupe Alos ont été séduits par le projet industriel de Spigraph et la forte proximité culturelle entre les deux groupes. Le rapprochement entre ces deux groupes leaders nationaux était somme toute logique et naturel. »